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lire au lit c sexy
16 mai 2017

L'Humiliateur

Hugh Questorius

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Présentation de l'éditeur
Lorsque David, un soumis masochiste, voit l’annonce de L’Humiliateur dans un magazine BDSM, il est aussitôt accroché. L’annonce est brève, brutale même, mais en quelques mots, le dominateur s'est présenté comme un maître sadique qui sait ce qu’il veut et le prend, et son esclave a intérêt à lui donner tout ce qu'il exige, sinon…
David rédige donc un message en forme d’éloge qu’il adresse à H, puis l’envoie à sa boîte postale.
Quelques longues semaines plus tard, David reçoit un questionnaire de plusieurs pages de la part de H. S'il le remplit, l’Humiliateur connaîtra tout de lui, absolument tout. Et H ne se donnera pas la peine d’aller plus loin s’il n'a pas la réponse en main dans le très bref délai prescrit. David y travaille jour et nuit, pour être sûr de finir à temps et d’être accepté par ce Dom qui lui semble déjà exceptionnel.
Après quelques semaines supplémentaires d'attente impatiente, il reçoit un nouveau colis, mais cette fois, c’est le début d’une incroyable aventure qui durera plusieurs années.

Avertissement : Ceci est un roman BDSM hard qui comporte plusieurs scènes d’uro et de scato.

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Ma chronique : 

 

 

Capture

Je savais où je mettais les pieds en commençant l’Humiliateur d’Hugh Questorius mais je ne m’attendais quand même pas à autant de scènes si … comment dire horribles, choquantes, dégoûtantes, un peu tout cela et beaucoup plus humiliantes et perverses. Je suis venue vers ce livre parce que j’ai apprécié de lire les romans de Danny Tyran et comme il a traduit ce livre en nous disant qu’il l’avait fait pour permettre aux lecteurs francophones aussi «  pervers » que lui de le lire et bien je me suis dis que c’était pour moi. J’aime la perversité mais les jeux uro et scato, très peu pour moi, encore heureux que les livres soient uniquement visuels parce que en odorama, l’Humiliateur m’aurait déjà fait gerber. Donc en faisant abstraction de ce côté obscur de la force, que reste-il  à dire de ce livre ? On a au fil des chapitres des scènes de dominations et d’humiliations d’une incroyable diversité, le livre est conté uniquement du point de vue de l’esclave et c’est un peu dommage , on aurait vraiment aimé savoir les motivations psychologiques de ce dominant très particulier qu’est le Brig. Si je me suis révoltée contre le traitement bien souvent inhumain qu’il réservait à son esclave David, je me suis quand même souvenu que dans toutes les scènes non seulement David est consentant mais qu’il est aussi demandeur et qu’il en a besoin. David tient de longs monologues avec lui-même, à la fois pour tenir le coup mais aussi pour  faire le point lorsqu’il vit des situations extrêmes, j’ai bien aimé ces passages là.  A aucun moment le jeu entre eux ne sortira de cette limite Dominant/Esclave, ne cherchez pas une trace de romance, il n’y en a pas. Du coup bien souvent on ne sort pas du côté descriptif de la scène qui même si elle est parfaitement traduite reste très chirurgicale. Les petits mots de québécois qui se glisse par-ci par là allège un peu la tension et m’ont fait sourire c’est déjà çà. J’ai aussi appris des choses mais cela on peut s’en douter vu que je n’ai passé mon Bac BDSM, j’ai attrapé des frissons dans le dos à la description de plusieurs instruments de « tortures – punissions » notamment je ne connaissais par l’histoire du Tawse.

« le tawse avait été inventé pour être utilisé dans les écoles écossaises… sur des enfants »

C’est en lisant les dernières pages de ce livre que je me dis avec philosophie qu’il faut de tout pour faire un monde et que certes ce n’est qu’un roman mais qui sait ce qui ce joue dans les caves bien insonorisées de nos voisins… Brr j’en ai froid dans le dos. Bonne lecture.

Citations : 

Demandez à n’importe qui de vous donner la définition de « sadique », et il vous reviendra avec quelque chose comme « quelqu’un qui retire du plaisir sexuel en infligeant de la douleur ». Tout le monde sait ça. Et tout le monde a tort ou, du moins, manque le point essentiel. La douleur n’est pas l’OBJET. La douleur est seulement un moyen d’atteindre les buts réels du sadique, qui sont le pouvoir et la domination.

 

 Et qu’en est-il de la « victime », comme vous l’appelez ? Croyez-vous qu’elle ne savait pas ce qui l’attendait quand elle s’est laissé attacher les poignets ? Elle s’est offerte au fouet sciemment et volontairement, mais son plaisir était dans son abdication plutôt que dans la douleur

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Commentaires
V
Ça a l'air effectivement assez hard, mais le côté psychologique m'intéresse beaucoup !
A
Pas du tout mon style mais merci du partage.
M
Je crois que je vais passer mon tour sur ce genre de roman.
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